
Catherine Mottier
Originaire de la Charente maritime, je vis au Mans depuis l’été 2007. J’ai suivi une formation d’architecte et obtenu mon diplôme. Métier que j’ai exercé pendant une quinzaine d’années.
J’ai pris goût à l’écriture il y a une douzaine d’années suite à une déconvenue lors d’un projet de rénovation dans la campagne sarthoise. Un client étrange souhaitait réhabiliter une ferme isolée à quelques kilomètres du Mans. Le projet n’a jamais abouti et, alors que je remâchais ma déconvenue, une idée des plus loufoques m’a traversé l’esprit : « une histoire qui pourrait inspirer un livre ». Idée d’autant plus ridicule que cette anecdote était insuffisante pour écrire un roman, à moins d’extrapoler. N’ayant aucune expérience en matière d’écriture, l’exercice fut assez long et quelques années plus tard « Le cauchemar débute à midi » a été édité par Edilivre en 2016.
J’ai éprouvé l’envie de faire vivre de nouvelles aventures à un des protagonistes de ce thriller, un personnage au goût prononcé pour les histoires de revenants. « Bicéphale » (auto édité sur Amazon en 2019) est un thriller psychologique que certains lecteurs ont qualifié de labyrinthique. L’ambiance y est étrange et peut rappeler parfois le générique de la série « Les contes de la crypte ». J’essaie de concevoir les scènes de façon cinématographique, de les visualiser, de les vivre avant de les écrire.
Après « Bicéphale », je me suis lancée dans un nouveau projet d’écriture, un thriller ésotérique dont l’action se déroule en Charente maritime à la fin des années 70 et au début des années 2000. Dans « L’enfer est au paradis », des jeunes hippies organisent des cérémonies spirituelles extravagantes. Après sa publication en novembre 2021, j’ai récupéré les droits de mon premier roman et j’ai écrit une nouvelle version : « Le cauchemar débute à midi pile ».
Enfin, mon tout dernier roman « La résidence 70 » est un thriller paranormal et musical. J’ai situé l’action au début des années 90 dans la région parisienne (un lieu où j’ai vécu alors que j’étudiais l’architecture). Ce roman est aussi un hommage à Freddie Mercury. Des chansons de Queen s’intègrent dans des chapitres et servent l’histoire.